La fiche Matière active synthétise les données relatives à la santé et à l’environnement de la matière active sélectionnée. Pour obtenir plus d'information, consultez les fiches détaillées.
Le bactériophage agit en incorporant son génome à l'acide désoxyribonucléique de la bactérie C. michiganensis ssp. michiganensis où il se reproduit rapidement au sein des cellules hôtes en provoquant la lyse de la bactérie infectée.
Effets sur les fonctions physiologiques : non classé.
Mode et site d’action : lyse de la bactérie infectée par le bactériophage (virus). Le virus infecte la bactérie et s'y multiplie causant l'éclatement de la bactérie et la libération de plusieurs dizaine de nouveaux phages.
Nom du groupe : microbiens (microbes vivants ou extraits, métabolites).
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Le demandeur a présenté une justification en appui à la levée de toutes les exigences en matière de données d’essai pour la matière active de qualité technique (toxicité et infectiosité aiguës par voies orale et cutanée, toxicité aiguë par voie pulmonaire, infectiosité aiguë par voie intraveineuse, irritation cutanée et cas d’hypersensibilité). La justification scientifique fournie en vue d’obtenir une exemption pour les essais exigés sur la toxicité et l’infectiosité du bactériophage de C. michiganensis ssp. michiganensis est acceptable. Les bactériophages sont incapables d’infecter des cellules eucaryotes et ils ne peuvent donc pas être pathogènes pour des organismes autres que les bactéries qui leur sont spécifiques. Les bactériophages occupent les mêmes niches écologiques que leurs bactéries hôtes. Les humains sont naturellement exposés aux bactériophages de par leur propre microflore résidente, interne et externe. En outre, il n’existe pas de cas connus de toxicité associée à une exposition directe à des bactériophages, et il est généralement admis que les bactériophages ne sont pas toxiques pour les humains ou d’autres mammifères. Par ailleurs, une recherche dans la littérature scientifique publiée a permis de constater l’absence de documents indiquant que le C. michiganensis puisse produire des toxines. |
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Les bactériophages sont incapables d’infecter des cellules eucaryotes et ils ne peuvent donc pas être pathogènes pour des organismes autres que les bactéries qui leur sont spécifiques. Les bactériophages occupent les mêmes niches écologiques que leurs bactéries hôtes. Les humains sont naturellement exposés aux bactériophages de par leur propre microflore résidente, interne et externe. En outre, il n’existe pas de cas connus de toxicité associée à une exposition directe à des bactériophages, et il est généralement admis que les bactériophages ne sont pas toxiques pour les humains ou d’autres mammifères. Par ailleurs, une recherche dans la littérature scientifique publiée a permis de constater l’absence de documents indiquant que le C. michiganensis puisse produire des toxines. |
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Les bactériophages sont peu toxiques pour les organismes non ciblés, puisqu’ils ne peuvent infecter d’autres organismes que les bactéries hôtes qui leur sont spécifiques. | |
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Le bactériophage de Clavibacter michiganensis ssp. michiganensis peut survivre dans l’environnement si les conditions sont favorables. Les populations devraient revenir à leurs concentrations naturelles avec le temps. | ||
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